RENOVATION EN COPROPRIETE

POURQUOI RÉNOVER SA COPROPRIÉTÉ ?

Les engagements de la France envers la réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050 ne seront tenus que si une rénovation énergétique importante du parc de logements existants est engagée. Elle devra conduire à diminuer fortement les consommations énergétiques des bâtiments et permettre de diviser leurs émissions de gaz à effet de serre par le facteur 4.

 

Les copropriétés sont partie intégrante d’un enjeu énergétique et environnemental considérable.

Le secteur résidentiel représente environ les deux tiers de la consommation d’énergie du secteur du bâtiment, soit près de 30% de la consommation nationale d’énergie finale. Les consommations énergétiques des copropriétés sont en moyenne de 320 kWhep/m²/an (équivalent étiquette énergie E).

La rénovation en copropriété fait face à un contexte décisionnel complexe (multiples décideurs, intérêts divergents entre copropriétaires, etc.) et à des lois qui sont pensées plutôt pour protéger la propriété privée que pour conduire un projet collectif. C’est en partie pourquoi la massification reste encore un enjeu difficilement atteignable.

COMMENT RÉNOVER SA COPROPRIÉTÉ ?

NOTRE AMBITION : moins d’études, plus de travaux !

La copropriété est un monde complexe, et quand la législation complique les projets de rénovation avec de multiples dispositifs (obligatoires ou incitatifs – aidés ou pas) aux conditions diverses et pas toujours cohérentes ; difficile de s’y retrouver, pour les copropriétaires qui veulent s’engager dans des travaux. (Audit énergétique/audit global/DPE/DTG/etc.). Nous mettons tout en œuvre pour que le projet de rénovation énergétique soit facilité et que les copropriétaires atteignent la phase travaux au plus vite et dans les meilleures conditions.

 

L’objectif n’est pas de contraindre les ménages à effectuer des travaux spécifiques, mais plutôt de les inciter à engager des travaux cohérents et durables, qui respectent les principes suivants :

Pour une prise en compte des spécificités techniques et financières de chaque copropriété : articuler le projet de rénovation en 4 étapes, avec pour chacune, un objectif bien précis :

1.Audit global / DTG :

Définir une feuille de route

 

Nous réalisons les audits globaux conformément au cahier des charges ADEME de février 2017 et des Diagnostics Techniques Globaux (DTG) avec un certain nombre d’architectes également aguerris au monde de la copropriété.

Ils doivent permettre à la copropriété d’orienter ses choix pour remédier aux pathologies et dysfonctionnements constatés : la feuille de route complète et partagée avec les copropriétaires.

Le groupement qui réalise l’audit / DTG doit donner aux copropriétaires la capacité à agir !

3.Maîtrise d’œuvre exécution :

Réaliser et suivre les travaux en site occupé :

 

Les bases sont posées, le programme de travaux est voté, il faut accompagner la copropriété pour suivre les travaux, piloter les entreprises et coordonner le planning et l’ensemble des intervenants.

Le rôle de l’équipe projet consiste alors à vérifier la cohérence entre les travaux préconisés en phase « maîtrise d’œuvre conception » et ceux réellement entrepris en phase chantier.

2.Maîtrise d’œuvre conception :

Organiser précisément la mise en œuvre et le financement des travaux

 

Cette deuxième phase d’études / conception qui est souvent considérée comme redondante de la première, doit pourtant permettre de préciser puis valider le programme et sa faisabilité de mise en œuvre : calculs, plans précis d’aménagement et de travaux, analyses par des bureaux d’études sur des problématiques particulières éventuelles : structure / acoustique/ qualité de l’eau/valorisation foncière/accessibilité / utilisation d’énergies renouvelables, etc.

4.Accompagnement de la copropriété après les travaux:

De la théorie à la pratique

 

Une fois les travaux terminés, les calculs théoriques vont être mis à l’épreuve, ce qui aura un impact sur les modes d’habiter des occupants.

Notre prestation sur le suivi des prestations d’exploitations et des consommations, la première année après la réception, doit permettre que ces calculs théoriques des études collent au plus près de la réalité.

Il est souvent possible de corriger et/ou de réduire encore les consommations.